RÉCIT - Vingt-cinq individus et entités accusés d’avoir permis l’arrivée illégale sur le sol britannique de 170.000 clandestins ont été sanctionnés par le Royaume-Uni. Le Figaro remonte leurs traces.
L’avion de ligne qui s’est écrasé jeudi dans l’Extrême-Orient russe a causé la mort de 48 personnes. Deux pistes sont évoquées pour expliquer cet accident tragique.
Le président américain s’est enquis de la situation personnelle d’une journaliste ukrainienne de BBC News réfugiée en Pologne mercredi 25 juin à La Haye lors du Sommet de l’Otan.
LES ARCHIVES DU FIGARO - Il y a 20 ans, un séisme au large de l’Indonésie déclenchait un raz-de-marée dévastateur qui fera plus de 220.000 morts en Asie du sud-est. Une journaliste du Figaro était sur place.
Systèmes d’alerte, plan d’évacuation, sensibilisation des populations… C’est la seule commune de l’Hexagone à être labellisée « Tsunami Ready » par l’Unesco.
Avec 250 000 morts, c’est l’événement de ce type le plus intense et le plus meurtrier jamais survenu. Il a conduit à une profonde remise en question de la stratégie de surveillance, d’alerte et de préparation des populations partout dans le monde.
Il y a un an, un énorme glissement de terrain déclenché par le réchauffement climatique dans un fjord à l’est de l’île a provoqué un méga tsunami, puis fait vibrer la terre pendant neuf jours.
Bien que la majorité de ces catastrophes touchent les populations côtières du Pacifique et de l'océan Indien, la zone méditerranéenne est loin d'être épargnée.
La vague aurait été de 5 à 10 fois plus puissante que celles documentées qui ont frappé ces rivages. Cela expliquerait pourquoi peu de traces humaines subsistent pour cette période dans la région.
Poursuivis pour «négligence ayant entraîné la mort», ces trois anciens responsables de l’opérateur de la centrale Fukushima Daiichi, dévastée par le tsunami du 11 mars 2011, risquaient jusqu’à cinq ans de détention pour leur responsabilité dans la catastrophe nucléaire.