Malus, fin de la publicité... Les députés s’attaquent à l’ultra-fast fashion

L’ultra-fast fashion a trouvé des détracteurs jusqu’au plus haut niveau politique. Le phénomène a beau faire un carton auprès de nombreux consommateurs accros aux petits prix de vêtements vendus sur des sites comme Shein et Temu, il est devenu le cheval de bataille de Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, et de nombreux députés, inquiets des dégâts environnementaux et économiques de cette mode venue d’Asie.

Depuis longtemps, l’ultra-fast fashion fait bondir de nombreuses associations inquiètes pour la planète et pour les travailleurs qui fabriquent ces vêtements. Cette mode ultra-polluante pourrait bientôt être sanctionnée pour ses pratiques.

Début février, le député LR Antoine Vermorel-Marques a déposé une proposition de loi, visant à «démoder» cette mode jetable, en instaurant un système de bonus-malus. Mais c’est le texte porté par Anne-Cécile Violland, députée Horizons de la Haute-Savoie, qui passera jeudi en commission du développement durable, avant d’être examinée…

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