Basket : Parker, Wembanyama, les Bleus, «casseroles en Turquie»... Les confidences d’Alain Weisz

Il a pris la plume par «souci de transmission». Alain Weisz, 70 ans, a laissé le basket derrière lui après 35 ans dans le costume d’entraîneur, et une fin réussie comme directeur sportif à Boulogne-Levallois (2018-2023). Dans un livre intitulé «Mes secrets de coach» (éditions Solar), il a voulu s’adresser avant tout aux coaches français «qui doutent beaucoup d’eux-mêmes».

Passé par Sceaux, Le Mans, Strasbourg, Hyères-Toulon ou Nancy, et surtout sélectionneur de l’équipe de France masculine (2000-2003), Weisz décrit les ficelles du métier d’entraîneur. Comment gérer un vestiaire, l’aspect mental, les émotions, les coulisses que le grand public ne voit pas... Il parle de basket, un peu de foot, de biais cognitifs, cite aussi bien José Mourinho qu’Oscar Wilde ou Jean Jaurès. Le natif de Marseille, qui réside aujourd’hui dans le Var, raconte aussi, entre autres, comment il a recruté miraculeusement Victor Wembanyama, sans même y croire. Pour Le Figaro, il revient sur quelques savoureuses anecdotes…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 89% à découvrir.

Vente Flash

4,49€/mois pendant 12 mois

Déjà abonné ? Connectez-vous