Législatives : ces figures de l’Assemblée qui pourraient être battues dimanche

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Législatives : ces figures de l’Assemblée qui pourraient être battues dimanche

François Ruffin (ex-LFI), Élisabeth Borne (ancienne première ministre), Olivier Marleix (LR) et Valérie Rabault (PS). AFP / FRANCOIS NASCIMBENI / AFP / JULIEN DE ROSA / AFP / LUDOVIC MARIN / AFP / PASCAL GUYOT

DÉCRYPTAGE - De François Ruffin (ex-LFI) à Olivier Marleix (LR) en passant par l’ancienne première ministre Élisabeth Borne, tous s’apprêtent à disputer un second tour à hauts risques à l’issue duquel ils pourraient perdre leur siège de député.

Menacés de disparition. À la découverte des résultats du premier tour des législatives anticipées, dimanche dernier, ces figures de l’Assemblée sont probablement passées par de nombreuses émotions, entre le soulagement de se voir qualifiés pour le second tour et l’inquiétude d’y être balayés par une vague de «dégagisme» inédite. En dépit des plus de 200 désistements enregistrés dans toute la France pour «faire front» contre le Rassemblement national, de nombreuses figures de l’Assemblée nationale ne sont pas assurées de conserver leur siège à l’issue du second tour, dimanche. Tour d’horizon.

Élisabeth Borne

Élisabeth Borne, ancienne première ministre. JULIEN DE ROSA / AFP

L’ancienne première ministre n’a pas terminé en position très favorable à l’issue du premier tour. Loin de là. Distancée de huit points par son adversaire du Rassemblement national Nicolas Calbrix (36,26%), elle est arrivée en deuxième position (28,93%). Si elle bénéficie du désistement du candidat Insoumis Noé Gauchard (23,16%), qui s’était également qualifié, rien ne dit que les électeurs qui avaient…

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