Avec son nouvel album, Mario Lucio célèbre l’indépendance du Cap-Vert

En 1974, l’étincelle de la « révolution des œillets » allait déclencher l’une des dernières salves de la décolonisation, effective un an plus tard en Afrique lusophone : Guinée-Bissau, Angola, Mozambique et l’archipel du Cap-Vert le 5 juillet 1975.

Un cinquantième anniversaire resté discret mais que le festival Au fil des voix, ancré dans le quartier parisien de Barbès, s’est toutefois astreint à célébrer, il y a deux semaines, avec trois soirées musicales en compagnie de la chanteuse mozambicaine Assa Matusse (Mozambique), du groupe Ayom, bâtisseur de ponts musicaux par-dessus l’Atlantique, et de Mario Lucio, institution cap-verdienne qui y étrennait devant un public français son dernier album, le bien nommé Independance.

Il reste 85 % de l’article à lire, la suite est réservée aux abonné.es.
Profitez d’un accès illimité aux contenus en ligne et
soutenez une rédaction jeune, libre et engagée !

Abonnez-vous à l’Humanité à partir de 11€/mois