Coupe du monde féminine de rugby : la star Portia Woodman-Wickliffe améliore son propre record mondial

La star néo-zélandaise Portia Woodman-Wickliffe a encore marqué l’histoire de la Coupe du monde féminine de rugby. Dimanche à York, l’ailière des Black Ferns a inscrit, face à l’Espagne, son 21e essai en phase finale de Coupe du monde, améliorant ainsi son propre record et prenant désormais deux longueurs d’avance sur l’ancienne internationale anglaise Sue Day (19).

Dans une rencontre du groupe C dominée par la Nouvelle-Zélande face à l’Espagne (54-8), Woodman-Wickliffe a participé au festival offensif des tenantes du titre, avec également des doublés de Jorja Miller et Ayesha Leti-Iiga.

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Depuis ses débuts avec les Black Ferns en 2012, Portia Woodman-Wickliffe s’est imposée comme l’une des plus grandes figures du rugby féminin mondial. Championne du monde à XV et à 7, élue meilleure joueuse du monde en 2017, elle est une véritable icône en Nouvelle-Zélande. À 33 ans, l’ailière n’a rien perdu de son efficacité.

En neuf éditions de la Coupe du monde féminine, la Nouvelle-Zélande s’est imposée six fois (1998, 2002, 2006, 2010, 2017, 2022). Woodman-Wickliffe, qui était sortie de sa retraite pour participer à cette 10e Coupe du monde, a décroché le titre mondial en 2017 puis en 2022.

Avant le début de la compétition, l’entraîneur des Black Ferns, Allan Bunting, avait confié : «Portia est une personne exceptionnelle et je sais qu’elle améliorera notre environnement. Sur le terrain, elle sait ce qu’il faut faire pour remporter des matchs. Sa capacité naturelle à inspirer les autres, ses qualités athlétiques étonnantes, sa connaissance du jeu et ses compétences auront une énorme influence sur tous ceux qui l’entourent.»

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