Tennis : en clair-obscur, Djokovic ou l'art diabolique de jouer avec les lignes

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Tennis : en clair-obscur, Djokovic ou l'art diabolique de jouer avec les lignes

Novak Djokovic. Joaquin Corchero / Zuma / Panoramic

HUMEUR - Le Serbe a, durant la phase finale de la Coupe Davis, esquivé un contrôle antidopage. Inimaginable dans d'autres sports.

Selon que vous serez puissant ou misérable… Novak Djokovic a bouclé une saison 2023 fantastique (56 victoires-7 défaites ; 7 titres) qui, au-delà de l'excellence récitée et des records compilés, le maintiendra coincé entre lumière et ombre. Celle propagée par l'imbroglio vécu durant la phase finale de la Coupe Davis, à Malaga.

Le n°1 mondial y a refusé un contrôle antidopage avant le quart de finale contre la Grande-Bretagne. Sa justification ? L'intrusion dans sa préparation millimétrée d'avant-match. Un faux rebond dans le milieu ouaté du tennis. L'omnipotent Serbe s'est, après le match (remporté), soumis à un contrôle qui n'avait plus rien d'inopiné…

Une attitude couverte par l'ITIA (International Tennis Integrity Agency) arguant que les joueurs avaient le choix de soumettre leur échantillon de sang avant ou après leur match (durant le reste de la saison et notamment durant les Grands Chelems, les tests sont effectués après les matches). Une légèreté (quelle est leur raison d'être…

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