CONTRE-POINT - Dans la perspective de 2027, les municipales de 2026 pourraient servir de laboratoire d’une coalition de gestion entre les partis de droite, du centre et même de gauche.
CHRONIQUE - Il y a un an, le nouveau président des Républicains était invisible et inaudible. Peu de personnes auraient misé sur sa montée en puissance au point de commencer à inquiéter Édouard Philippe. Et si sa chance était de retrouver l’électorat perdu de François Fillon en 2017 ?
DÉCRYPTAGE - Le nouveau parton des Républicains a procédé à ses premières nominations et obtenu des gages de Laurent Wauquiez, maintenu à la tête du groupe DR à l’Assemblée nationale.
TRIBUNE - Après sa victoire, le nouveau président des Républicains va enfin pouvoir doter le parti d’une proposition politique substantielle, estime l’essayiste*. Reste à voir s’il parviendra à réunir suffisamment d’électeurs autour d’une ligne libérale-conservatrice.
Le député de la Haute-Loire s’est incliné dimanche soir face à Bruno Retailleau. Malgré l’échec, le nouveau député aux ambitions présidentielles assumées, compte peser au sein du mouvement.
DÉCRYPTAGE - Le verdict de l’élection interne sera rendu dimanche soir après des semaines intenses. Quel que soit le nom du vainqueur, le nouveau patron de la droite devra trancher des questions urgentes de ligne politique et de stratégie.
DÉCRYPTAGE - Si le climat de la campagne pour la présidence des Républicains fut marqué par un relatif respect mutuel, beaucoup au sein du parti LR s’attendent à l’émergence progressive de tensions plus fortes à l’approche de 2027.
ENTRETIEN - Pour le candidat à la présidence LR, la droite ne peut pas être la «béquille d’un macronisme finissant» et doit s’engager à bâtir un projet de rupture en vue de la prochaine élection présidentielle.
ENTRETIEN - L’ex-ministre de l’Enseignement supérieur accuse le mélenchoniste Paul Vannier de chercher à «faire la guerre à l’enseignement privé en général, et bien entendu catholique en particulier».
CHRONIQUE - L’élection à la présidence des Républicains le 18 mai pourrait, implicitement, désigner le prochain candidat du parti à la présidentielle, qui aura pour mission de séduire et convaincre un électorat de droite déboussolé.