Entre la santé mentale et le budget, Michel Barnier trace sa route sur «un chemin de crête»

Envoyé spécial dans la Vienne

À peine nommé à Matignon début septembre, le premier ministre avait décidé d’ériger la santé mentale en grande cause nationale de l’année 2025. Il l’avait annoncé officiellement le 1er octobre à l’Assemblée nationale, dans sa déclaration de politique générale. Et jeudi, Journée mondiale de la santé mentale, Michel Barnier a maintenu un déplacement dans la Vienne, quelques heures seulement avant de dévoiler les grandes lignes de son budget 2025 en Conseil des ministres à l’Élysée.

Pour le chef du gouvernement, il s’agit évidemment de mettre la lumière sur un sujet qu’il juge majeur tout en le plaçant au cœur de ses engagements budgétaires. « Cela fait partie de mon travail et de mon devoir de premier ministre. Je suis concentré sur le budget et cette question de la santé mentale en fait partie, puisque des moyens sont déjà mobilisés. Il est évidemment symbolique de mettre en œuvre cette grande cause le jour où l’on présente le budget…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 86% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement. Sans engagement.

Déjà abonné ? Connectez-vous