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Le plan de bataille de l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle pour les JO
«Le big bang, ce sera le 12 août.» Régis Lacote, le directeur de l’aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle (CDG), est catégorique. Par la force des choses, il sera un peu le gardien de la porte des Jeux olympiques, qui se dérouleront du 26 juillet au 11 août prochain en France. Le 12 août, en effet, parmi les étrangers venus participer à l’événement, tout le monde ou presque voudra quitter par avion la Ville Lumière après la fête. Les arrivées en train seront marginales et c’est bien par Roissy qu’entreront et sortiront principalement les délégations. Pas moins de 52.000 accrédités, comprenant les athlètes, leur encadrement, les journalistes et bien sûr les chefs d’État et représentants des nations venus du monde entier, avec leur imposante suite. Tous n’auront qu’une hâte: lever le camp, dans les 24 à 72 heures, après la cérémonie de clôture. Un enjeu logistique et sécuritaire colossal, auquel le groupe Aéroports de Paris (ADP), présidé par Augustin de Romanet jusqu’aux Jeux - il ne sera pas…