Cannes 2025 : « Résurrection » de Bi Gan, adepte des figures de style

C’est sans doute le film le plus sensoriel du Festival et sans conteste le plus riche d’un point de vue formel. Ce qui ne fait pas de Résurrection le long métrage le plus emballant de la compétition. En six segments et deux heures trente-cinq de fascination ou d’ennui, selon que l’on soit prêt ou pas à adhérer à son parti pris mettant...