Citroën C3, un lancement sous tension

Réservé aux abonnés
La nouvelle Citroën C3 adopte une ligne plus carrée que le modèle précédent. Adrien Cortesi

ESSAI - Au moment d’embrasser une carrière de voiture populaire, le modèle le plus vendu de l’histoire des chevrons doit affronter une crise liée à des airbags défectueux.

La firme aux chevrons s’en serait bien passée. C’est dans le contexte d’une campagne de rappel massive portant sur des airbags Takata défectueux, qui équipent ses C3 et DS3 produits entre 2009 et 2019, que débute la campagne de lancement de la quatrième génération de la C3 (voir encadré). Une affaire qui vient brouiller les cartes et percuter la stratégie du constructeur. Déclinée en thermique et électrique, cette nouvelle voiture est attendue comme le messie. Elle symbolise le visage d’une marque qui a été obligée de se réinventer pour incarner l’entrée de gamme du groupe Stellantis. Moins de modèles mais aussi moins de diversité sont le nouveau credo d’un constructeur qui suit l’exemple de Dacia avec la promesse de proposer des modèles populaires au juste prix.

Seul le niveau 2 Max permet de bénéficier de la carrosserie biton. Adrien Cortesi

Modèle essentiel pour Citroën, la C3 s’est déjà écoulée à 5,6 millions d’unités en vingt-deux ans. Sans faire de bruit, le record de la 2 CV est battu. Avec ce nouveau modèle renouant avec le logo ovale originel sur sa calandre…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 86% à découvrir.

Vente Flash

1€ par mois pendant 3 mois. Sans engagement.

Déjà abonné ? Connectez-vous