Faute de « clarification » politique aux législatives, le pays reste depuis plongé dans l’inconnu, sans majorité claire ni nouveau premier ministre.
Mardi 16 juillet : démission du gouvernement
Il lui avait demandé de rester pour la « stabilité du pays ». Après avoir temporairement prolongé son bail à Matignon, Emmanuel Macron devrait finalement accepter la démission de Gabriel Attal ce mardi 16 juillet. Élu patron des députés Renaissance, le premier ministre entamera alors un intérim à la tête d’un « gouvernement démissionnaire » - a priori à l’abri d’une motion de censure -, qui sera chargé d’expédier les « affaires courantes » aussi longtemps que souhaité par le président. Détail qui n’en est pas un : les 17 ministres élus députés pourront retrouver les bancs de l’Hémicycle dès jeudi, pour assister à la séance inaugurale de la 17e législature. Surtout, ils pourront prendre part au vote pour la présidence du Palais Bourbon, et participer à l’attribution des postes clés.
«D’ici le 18 juillet» : promesse d’une fumée blanche à gauche
Le temps presse à gauche, après une semaine…