«Restaurer l'autorité, un défi décisif pour Michel Barnier»
anonyme
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Je suis assez d’accord avec le propos de cet édito, comme souvent mais je le trouve un peu réducteur sur l’analyse des causes éminemment complexes de cette réalité incontestable et très discret sur les moyens à mettre en œuvre.La fermeture des frontières ne marche dans aucun état,les prisons débordent…les sanctions se sont alourdies..mais le mal est profond il passe aussi par la création d’une société où la frustration est devenue un moteur de l’économie et où la plupart ne la supporte plus..on crée des besoins, des envies puis des produits..lés réseaux sociaux nous montrent des icônes vivant dans des conditions absolument hors de portée.. qu’il s’agisse de Mbappé , d, hanouna, de tel ou tel influenceur..alors que les profs sont critiqués et prolétarisés.. et nos savants ringardisés..Notre société est à l’image de nos veaux d’or…barnier ni quiconque n’y peut rien et le spectacle de nos élites et de leur entre soi..est un symptôme tragique..o tempora o mores .la crise c’est quand ce qui doit mourir est encore présent et ce qui doit être pas encore advenu..plus d’idéaux collectifs puissants, religieux, politiques , sociétaux qui génèrent des comportements moraux acceptables par tous..l’individualisme et le mythe des premiers de cordées nous gangrènent
La Nouvelle République
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Ceci plaise pour une nouvelle classe politique issue de la société civile et non des apparatchiks obsédés par les résultats de leur parti.
Lordban
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Avec une assemblée nationale divisée en trois blocs qui refusent tous les responsabilités et sont tous en train de préparer la prochaine campagne électorale - 500 députés au moins sur 577 qui ont tout intérêt à laisser pourrir la situation de la France sans s'exposer - mieux vaut ne pas trop attendre de résultats du côté de Michel Barnier. Il est presque certain que son gouvernement ne passera pas l'automne, et même pas impossible qu'il ne l'atteigne pas...