Comment la France a remporté les JO d'hiver de 2030

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De gauche à droite : Marie-Amélie Le Fur (Comité paralympique et sportif français) Renaud Muselier (président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur), David Lappartient (Comité national olympique et sportif français) et Laurent Wauquiez (président de la région Auvergne-Rhône-Alpes). Sophie Rodriguez / Sophie Rodriguez pour le Figaro

ANALYSE - Au terme d'un long dialogue, mené en un temps record avec le Comité international olympique, les régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte d'Azur sont désormais seules en lice pour accueillir dans les Alpes françaises les Jeux d'hiver de 2030. Ce qui a fait la différence ? Une candidature française plébiscitée pour ses conditions financières et environnementales.

Cette fois, c'est gagné. Laurent Wauquiez, président (LR) du conseil régional d'Auvergne-Rhône-Alpes et Renaud Muselier (Renaissance), son homologue de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur ont annoncé ensemble officiellement, le 9 décembre dernier au départ de la piste de bobsleigh de La Plagne, en Savoie, l'ouverture du « dialogue ciblé » avant l'attribution définitive, en juillet prochain, des Jeux Olympiques d'hiver de 2030 à la France.

Une étape déterminante dans le complexe processus du Comité international olympique (CIO), l'ONG internationale basée à Lausanne, en Suisse, chargée de la coordination mondiale du mouvement olympique. Accompagnés par David Lappartient, président du Comité national olympique et sportif français (CNOSF) et Marie-Amélie Le Fur, présidente du Comité paralympique et sportif français (CPSF), les deux élus n'ont pas caché leur satisfaction d'avoir réussi là où beaucoup tablaient sur un échec et sur la division.

Après le retrait de l'Espagne, du Canada, de…

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