«J'étais tellement au-dessus en demi-finale et j'ai raté le coche» : Clarisse Agbégnénou, une quête d’or inassouvie

Réservé aux abonnés

«J'étais tellement au-dessus en demi-finale et j'ai raté le coche» : Clarisse Agbégnénou, une quête d’or inassouvie

Trois ans après s'être élevée sur la plus haute marche du podium olympique à Tokyo, Clarisse Agbégnénou a su surmonter sa désillusion en demi-finale pour décrocher le bronze. Arlette BASHIZI / REUTERS

RÉCIT - Battue en demi-finale, la championne olympique en titre (- 63 kg) a dû se contenter d’une médaille de bronze.

Rebaptisée « Arena Champ-de-médailles » après que cinq des six premiers Tricolores engagés depuis le début des Jeux y sont montés sur le podium, l’Arena Champ-de-Mars attendait Clarisse Agbégnénou comme le messie devant apporter la médaille d’or tant attendue. Celle qui devait consacrer le judo comme le sport roi à Paris pour la délégation hexagonale. Tous les astres paraissaient s’être alignés pour que le public français célèbre sa reine. Après une matinée compliquée pour la double championne olympique de Tokyo en individuel et par équipes, elle était quand même parvenue à atteindre le dernier carré que la majorité de ses rivales n’allaient suivre qu’à la télévision ou par le biais des repêchages. Et puis soudain, ce rêve d’or s’effondra. Brutalement. Climatisant l’espace de longues minutes l’ambiance dans une arène pourtant bouillante lors de cette funeste demi-finale…

Trois ans après avoir été la seule membre de l’équipe de France à conquérir de l’or à Tokyo en individuel…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 85% à découvrir.

Vous avez envie de lire la suite ?

Débloquez tous les articles immédiatement.

Déjà abonné ? Connectez-vous