Macron-Pécresse, l’entente olympique qui aiguise les supputations

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Gabriel Attal, Emmanuel Macron et Valérie Pécresse, lundi dans le jardin de l’Élysée Tschaen Eric / Tschaen Eric/Pool/ABACA

Alors que le chef de l’État cherche un nouveau premier ministre, sa bonne entente avec la présidente de la région Île-de-France pendant la compétition alimente les discussions.

Bras droit et poing levé dans la cour de l'Élysée, Valérie Pécresse n'a pas boudé son plaisir lundi en arrivant à la réception des organisateurs des Jeux olympiques. Le matin même, la présidente de la région Île-de-France se félicitait sur les réseaux sociaux du «succès sportif et populaire» de la compétition. En louant, en particulier, la «mobilisation exceptionnelle» des «acteurs publics» faisant démentir «les ingénieurs du chaos» qui «promettaient le pire». L’exécutif ne l’aurait pas dit différemment. La semaine dernière, à l'évocation des transports publics efficients, elle rendait hommage à l'ancien ministre des Transports Clément Beaune, «qui n'y est pas pour rien». Un message accompagné du mot-clé «#TeamFrance». Fallait-il comprendre que l'élue des Républicains se trouvait de nouvelles affinités avec les macronistes ? 

Emmanuel Macron l'a citée en même temps qu'Anne Hidalgo au détour d'un entretien à L'Equipe, ce lundi, dans lequel il se félicitait du succès des JO 

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