Elliott Erwitt, un photographe avec le sourire aux lèvres
CRITIQUE - Rétrospective parisienne au Musée Maillol du photographe américain qui a tout passé, la politique comme l’amour, la célébrité comme l’enfance, au filtre de son humour.
CRITIQUE - Rétrospective parisienne au Musée Maillol du photographe américain qui a tout passé, la politique comme l’amour, la célébrité comme l’enfance, au filtre de son humour.
CRITIQUE - Le film d’Andrew Dominik, qui sort sur Netflix ce mercredi 28 septembre, est une adaptation audacieuse du roman éponyme de Joyce Carol Oates. Avec la formidable actrice cubaine Ana de Armas dans le rôle de Marilyn Monroe.
CRITIQUE - Disparu il y a tout juste 20 ans, l’intraitable et très drôle réalisateur de Certains l’aiment chaud a enfin sa biographie de référence. Une lecture savoureuse.
Plus de soixante ans après Sept ans de réflexion de Billy Wilder et la fameuse scène de la bouche d'aération où l'héroïne faisait voluptueusement voleter sa robe, la sculpture qui immortalise ce grand moment du septième art est jugée sexiste et offensante par les nouvelles ligues de vertu.
Reconfinement oblige, tout le secteur culturel est à l’arrêt. Le Figaro vous propose des séances de rattrapage avec quelques-uns de ses coups de cœur.
Certains des costumes les plus emblématiques de la star américaine seront dispersés lors d'une vente en octobre. D'autres effets personnels tels que la photographie, la plus en vue d'Hollywood, dédicacée de la main de la pulpeuse comédienne à son pygmalion seront mis à l'honneur.
REVUE DE PRESSE - Huit ans après Happy Few, Antony Cordier revient avec un long-métrage aux personnages fantasques, qui ne manque pas de rappeler le cinéma indépendant américain. Cette histoire aux allures de conte ravie beaucoup de critiques, même si certains regrettent une intrigue peu originale.
JOURS DE FRANCE - Dandy's Night à l'Hôtel Plaza Athénée avec La Garçonnière qui se joue au Théâtre de Paris.
Adapté à la scène, La Garçonnière de Billy Wilder n'a pas pris une ride. Les comédiens, en tête desquels Guillaume de Tonquédec, Claire Keim, Jean-Pierre Lorit, sont épatants et s'amusent dans la mise en scène enlevée de José Paul et le décor formidable d'Édouard Laug.
À Aix-en-Provence, une soixantaine de tirages intimes réinventent l'itinéraire de la star, jeune femme ordinaire devenue icône glamour.