Les compteurs individuels d’eau et de chauffage sont un gage d’équité et de responsabilisation. Mais leur installation souvent compliquée et les prix à la location jugés trop élevés rebutent nombre de copropriétaires.
INFO LE FIGARO - Une Assemblée générale des copropriétaires est convoquée, ce jeudi 24 juillet, à 9 heures. À l’ordre du jour, le vote du budget nécessaire à la réhabilitation de cet immeuble hors-norme. Il sera voté. En coulisses, il y a beaucoup d’intérêts divergents. L’exploitation de la terrasse est la principale pierre d’achoppement.
NOS CONSEILS - Casse-tête en vue pour les propriétaires d’une passoire thermique qu’ils ont mis en vente ou dont ils envisagent de se séparer rapidement. La modification du DPE, annoncée pour 2026, rebat les cartes. Tour d’horizon des situations et des solutions.
DÉCRYPTAGE - Le manque de logements s’étend un peu partout en France. En cause, une demande qui augmente, et une offre qui se réduit du fait des difficultés de la construction neuve et des contraintes qui pèsent sur les bailleurs.
RÉCIT - Le site qui a accueilli des milliers d’athlètes s’apprête à faire sa mue. D’ici septembre, les premiers habitants vont y emménager.
Anne, Thomas et Agathe ont adopté une stratégie : celle du faux couple, pour pouvoir louer un logement dans un contexte de tensions locatives. Et ça marche...
TRIBUNE/FIGAROVOX - L’étude de l’Insee concluant qu’un quart des résidences principales comporteraient au moins trois pièces en trop est une nouvelle preuve du mépris des pouvoirs publics pour la propriété immobilière, pourtant ancrée dans les gènes des Français depuis la révolution de 1789, analyse le professeur à l’université.
TÉMOIGNAGES - Un quart des ménages vivent dans un logement sous-occupé, selon une étude de l’Insee. Ces ménages restent souvent dans ces logements parce qu’ils ont élevé leurs enfants dans ces lieux chargés d’histoire. Une page de vie qu’ils n’ont pas envie de tourner.
Au total, un rapport remis ce mardi à Bercy chiffre à près de 96 milliards d’euros annuels les besoins d’investissement en matière de travaux de rénovation, d’adaptation au vieillissement et au changement climatique et d’amélioration de l’habitat privé.
Les gestionnaires d’immeubles étaient contraints de ne recourir qu’aux sociétés du groupe, sans mise en concurrence avec d’autres courtiers ou prestataires. Tout salarié, qui passait outre, s’exposait au licenciement.