Germain Roesch, candidat à la présidence de la Fédération française de tennis: «Je remets en cause le modèle de la pensée unique»

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Germain Roesch, candidat à la présidence de la FFT, dénonce des dérives autocratiques. PHOTOPQR/VOIX DU NORD/MAXPPP

ENTRETIEN - Le président de la Ligue Île-de-France égratigne Gilles Moretton, son adversaire dans la course à la présidence de la FFT.

Marié, deux enfants, âgé de 65 ans, ex-dirigeant d’entreprises internationales, le président de la Ligue Île-de-France Germain Roesch, vice-président de la FFT en charge de la responsabilité sociétale, se définit avant tout comme « un dirigeant, un meneur de femmes et d’hommes dont l’objectif est de fédérer ». Il se confie au Figaro.  

LE FIGARO. - Qu’est-ce qui vous a poussé à vous présenter contre Gilles Moretton dont vous avez été longtemps un soutien ? 

GERMAIN ROESCH. - Il y a dix mois, j’ai été contacté par de nombreux présidents de clubs, de comités départementaux et de Ligues. Je représente ce collectif. Ce n’est pas une démarche personnelle. Je remets en cause le modèle que défend le président actuel, celui de la pensée unique. Aujourd’hui, on ne fonctionne pas en équipe. Un comité exécutif doit être avant tout une instance démocratique, coopérative. Or on n’a plus notre mot à dire.

Qu’est-ce qui vous a plus précisément déçu chez Gilles…

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