DÉCRYPTAGE - Malgré les sanctions économiques, l’Iran a développé ces dernières décennies une structure militaire concentrée sur un arsenal puissant de drones et de missiles, qui ont commencé à servir dans la riposte contre l’attaque israélienne ce vendredi.
Un survivant a été retrouvé après le crash de l’avion à destination de Londres qui s’est écrasé en Inde. Selon plusieurs médias indiens, il occupait le siège 11A à proximité de la porte de sortie de l’appareil.
RÉCIT - Téhéran a sévèrement répliqué à l’opération «Rising Lion» d’Israël. En tirant sur des centres urbains, l’Iran a franchi plusieurs «lignes rouges», avertit Israël.
Après la mort de plusieurs figures majeures du régime de Téhéran dans l’offensive lancée par Israël ce vendredi, la capacité de l’État hébreu à cibler les personnalités de la République islamique pose la question de la succession d’Ali Khamenei, dans l’hypothèse de son élimination.
À court terme, le cavalier seul de Benyamin Netanyahou paraît gagnant. Mais on n’a pas entendu le premier ministre israélien décrire les conditions d’une sortie de crise.
DÉCRYPTAGE - L’État hébreu espère pousser les États-Unis à s’impliquer, alors que les salves de missiles iraniens parviennent à franchir le Dôme de fer.
Invité dimanche du « Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Public Sénat », le ministre des Affaires étrangères a annoncé que la France n’a pas « à ce stade » mobilisé ses moyens militaires pour défendre Israël dans sa guerre contre l’Iran.
RÉCIT - Les quelque 10 millions d’habitants de la capitale retiennent leur souffle, sonnés par l’ampleur de l’opération et incapables d’imaginer la suite.
L’armée israélienne impose sa supériorité militaire sur l’Iran, mais elle est frappée par ses missiles. Une dizaine de quartiers d’habitation ont été touchés au cours de la dernière nuit, faisant trois morts.
TRIBUNE - Si la principale cause de l’offensive de l’État hébreu en Iran est à chercher du côté de la politique intérieure israélienne, cette opération pourrait embraser la région, voire la planète.
RÉCIT - Les progrès rapides de Téhéran en la matière, les massacres du 7 Octobre et le comportement erratique de Donald Trump, qui donnait l’impression d’être prêt à signer un accord au rabais avec le régime islamiste, ont précipité la décision israélienne.