«Sidi Nicolas», «Sainte-Nicolas», «Petite Maman Noël»... ces municipalités qui déchristianisent les fêtes de fin d’année

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Dans certaines municipalités, la féérie de Noël change de codes et prend de nouveaux visages plus «inclusifs». Anna / stock.adobe.com

Parce que certains élus souhaitent un Noël plus inclusif, féministe et diversitaire, c'est tout une ribambelle de nouveaux personnages que les enfants pourraient bien croiser, en ce mois de décembre, dans les écoles et sur les marchés.

Entre «Sidi Nicolas», «Sainte-Nicolas» et la «Petite Maman Noël», c'est tout une ribambelle de nouveaux personnages que les enfants pourraient bien rencontrer en ce mois de décembre. Au placard, les mâles blancs de plus de cinquante ans que sont le Père Noël et Saint-Nicolas... Pour un Noël toujours plus inclusif, féministe et diversitaire, certaines municipalités ont pris le parti de « réinventer les fêtes de fin d'année ». Dès lors, chaque jour du calendrier de l'avent ouvre la porte à une surprise, qui ne fait pas toujours l'unanimité.

À Nantes, pour la deuxième année consécutive, le «Voyage en hiver» et ses sculptures lumineuses ont remplacé les décorations traditionnelles. Des illuminations aux couleurs de l'arc-en-ciel, sans guirlandes ni sapins - excepté un sapin mécanique géant, place Graslin -, qui ont été remplacés par des installations «multiculturelles», se félicite la municipalité PS, afin de laisser «la place à toutes les confessions ou non confessions». Avachie, en jogging…

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