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EN DIRECT - Guerre en Ukraine : suivez à 20 heures l’interview d’Emmanuel Macron
EN DIRECT - Guerre en Ukraine : suivez à 20 heures l’interview d’Emmanuel Macron
À moins de trois mois des élections européennes, le président, qui a récemment durci son discours face à Vladimir Poutine en évoquant l’envoi possible de troupes en Ukraine, s’explique ce jeudi soir aux «20 heures» de TF1 et France 2.
Le direct
Faits Essentiels
À retenir
• Emmanuel Macron s'explique jeudi soir devant les Français. Il doit s’exprimer sur les enjeux du soutien à l'Ukraine, après ses propos controversés sur le possible envoi de militaires occidentaux, face à une Russie accusée d'être de plus en plus «menaçante» en Europe.
• Son entretien aux «20 heures» de TF1 et France 2, devant Gilles Bouleau et Anne-Sophie Lapix, intervient à moins de trois mois des élections européennes. Il marque aussi de facto son entrée en campagne, après le premier meeting de son camp samedi à Lille.
• Le soutien à l'Ukraine devrait être au centre de la campagne du camp présidentiel, lequel prévoit d’accuser, le RN, largement leader dans les sondages, et La France insoumise d'entretenir des positions contestées voire prorusses.
• Le président est surtout attendu sur ses déclarations autour de l'envoi possible de troupes en Ukraine. Une position largement dénoncée par ses opposants en France et en Europe, même s'il a souligné qu'aucun consensus n'existait «à ce stade» parmi les alliés.
• Son entretien aux «20 heures» de TF1 et France 2, devant Gilles Bouleau et Anne-Sophie Lapix, intervient à moins de trois mois des élections européennes. Il marque aussi de facto son entrée en campagne, après le premier meeting de son camp samedi à Lille.
• Le soutien à l'Ukraine devrait être au centre de la campagne du camp présidentiel, lequel prévoit d’accuser, le RN, largement leader dans les sondages, et La France insoumise d'entretenir des positions contestées voire prorusses.
• Le président est surtout attendu sur ses déclarations autour de l'envoi possible de troupes en Ukraine. Une position largement dénoncée par ses opposants en France et en Europe, même s'il a souligné qu'aucun consensus n'existait «à ce stade» parmi les alliés.