DÉCRYPTAGE - Le chef d’Horizons, qui aimerait voir Bruno Retailleau le rejoindre pour rassembler la droite lors de la présidentielle de 2027, réunit ses troupes samedi, en plein congrès des Républicains.
CHRONIQUE - Chaque semaine, pour Le Figaro, notre chroniqueur* pose son regard ironique sur l’actualité. Aujourd’hui, il propose à nos lecteurs un nouveau test pour mieux cerner leur propre position sur l’échiquier politique.
Selon une étude Ifop-Fiducial pour Le Figaro et Sud Radio, les souhaits et les pronostics de candidature rebattent les cartes deux ans avant la présidentielle.
DÉCRYPTAGE - Si les deux hommes entretiennent de bonnes relations, ils sont en concurrence à droite. Le chef d’Horizons parle de « complémentarité », mais le ministre, en campagne pour la présidence de LR, récuse tout duo.
RÉCIT - À l’heure où les appétits s’aiguisent pour la présidentielle, certains candidats à l’Élysée assument s’inspirer de la troisième campagne de Jacques Chirac, qui en 1995 avait déjoué tous les pronostics en misant sur une ligne populaire et une image renouvelée.
RÉCIT - Tout en se ménageant, les deux ex-premiers ministres tiennent à se différencier, sans primaire, pour que l’un d’eux s’impose comme candidat unique du « bloc central ».
CONTRE-POINT - Après deux mandats d’Emmanuel Macron, se pose la question de l’avenir de son camp politique. Parmi les prétendants à la relève, Édouard Philippe et Gabriel Attal devront trouver un positionnement clair en vue d’une probable confrontation avec le RN en 2027.
RÉCIT - Gabriel Attal a tenu, dimanche, à la Cité du cinéma, sa première grande réunion publique depuis son arrivée à la tête de Renaissance. Un nouveau pas vers l’élection présidentielle pour l’ex-premier ministre.
DÉCRYPTAGE - Édouard Philippe, Gabriel Attal, François Bayrou… Tous voient les cartes rebattues, alors que la condamnation de la députée RN compromet sa candidature.
TRIBUNE - En se prononçant contre la prohibition généralisée du voile dans les compétitions sportives, l’ancien premier ministre pense favoriser l’apaisement. Il se fait en réalité le porte-voix d’une laïcité de la défaite, prélude aux compromissions de demain, estime l’essayiste* Joachim Le Floch-Imad.