Panama : les premiers réfugiés climatiques d’Amérique

L’île comptait il y a un an 1 200 habitants, aujourd’hui, ils ne sont plus qu’une poignée à croire que les choses vont évoluer favorablement. La dernière commerçante de l’île, Mayka, en fait partie. “Je ne veux pas partir et tout laisser” témoigne-t-elle. Pour la mère de la commerçante, il faut 15 minutes de bateau pour rejoindre sa fille. La famille de Mayka vit désormais ailleurs dans les terres, à deux kilomètres de la côte, dans l’une des 300 maisons construites par le gouvernement panaméen.