De la promesse d’une première mondiale au décollage avorté, le flop des taxis volants

Le film est sorti sur les écrans il y a presque trente ans. Dans Le Cinquième Élément, signé Luc Besson, Bruce Willis pilotait un taxi volant à une altitude qui donnait le vertige. Oubliés les trajets au ras du bitume et les bouchons à répétition. En un clin d’œil, il rejoignait sa destination. Sur le papier, la réalité n’est pas loin de rejoindre la fiction. Quelques privilégiés en ont fait l’expérience une matinée de novembre 2022. Sur l’aérodrome de Pontoise en région parisienne, un pilote monte seul dans un drôle d’engin entièrement électrique. Un croisement entre un drone et un hélicoptère équipé de neuf batteries et de 18 hélices. 

Baptisé Volocity, cet appareil décolle à la verticale et tournoie dix minutes au-dessus des pistes. Un vol de démonstration. Sur le tarmac de ce vertiport conçu spécialement pour les taxis volants, les porteurs du projet sont là : l’équipe de direction du fabricant de ce nouveau mode de transport, l’allemand Volocopter, et les têtes…

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