La haute couture Dior, ce monde merveilleux

Sous la houlette de Kim Jones, la maison de l’avenue Montaigne dévoile une collection hiver 2025-2026 d’un luxe fou, entre héritage du fondateur et esthétique de dandy.

Ils sont les maîtres de notre temps, adulés par la jeunesse et les réseaux sociaux, et pourtant, à l’appel du Louvre, ces designers ont tous répondu présent.

ENTRETIEN - Sa boutique, qui a fait les beaux jours des jardins du Palais-Royal et des collectionneurs depuis 1974, ferme ses portes. Alors qu’une dernière vente de 350 lots exceptionnels se tiendra le 30 janvier, « l’antiquaire » de la haute couture nous confie ses plus grands bonheurs et ses regrets de ce qu’est devenue la mode aujourd’hui.

Pour accélérer sa recherche anti-âge, la marque de LVMH a constitué un collectif de scientifiques de haut vol qui étudient la longévité dans leurs universités de Harvard, Stanford, Ucla ou Kyoto. Objectif : restaurer la jeunesse cellulaire.

ENQUÊTE - Ces femmes richissimes qui ont fait la fortune et la réputation des couturiers se comptent aujourd’hui par dizaines, tandis que leurs collections se dispersent aux enchères. Telle celle de la fantasque Mouna Ayoub, oiseau rare de la mode, qui met à l’encan, ce lundi, plus de 40 lots de pièces exceptionnelles griffées Gaultier.

EXCLUSIF - Avant sa récente disparition, l'artiste américaine a signé six sacs d'exception pour Dior à l'initiative de Maria Grazia Chiuri. La directrice artistique de la maison de l’avenue Montaigne nous raconte les coulisses de ce projet.

Qu’ils soient peintres, danseurs, designers, plasticiens, disparus ou contemporains, ils influencent, et parfois même cosignent, les collections de cet hiver.

Sans le crier sur les toits, les nouvelles crèmes premium promettent désormais, dans le sillage des soins pharmaceutiques, d’optimiser les effets des injections et autres dermo-procédures.