Joe Biden élude l’embrasement du Proche-Orient

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Joe Biden, mardi, lors de la 79e Assemblée générale des Nations unies, au siège de l'ONU, à New York. Mike Segar / REUTERS

RÉCIT - Dans son dernier discours devant l’Assemblée générale des Nations unies, le président américain n’a mentionné que par des généralités une extension du conflit qui a consumé la dernière année de son mandat.

Correspondant à Washington

L’affrontement entre Israël et le Hezbollah a été à peine mentionné par le président américain. Dans son discours devant l’Assemblée générale des Nations unies mardi à New York, le dernier de sa présidence, Joe Biden a plus fait un bilan de son mandat qu’il n’a parlé de l’escalade de la guerre au Liban au cours des derniers jours.

« Une guerre totale n’est dans l’intérêt de personne », s’est contenté de dire Biden. « Même si la situation s’est aggravée, une solution diplomatique reste possible. En fait, elle reste le seul moyen d’assurer une sécurité durable et de permettre aux habitants des deux pays de retourner chez eux à la frontière en toute sécurité. C’est ce à quoi nous travaillons sans relâche. Nous nous tournons vers l’avenir. »

Biden n’a prononcé le nom du Hezbollah que pour rappeler que l’organisation chiite libanaise a lancé des roquettes contre Israël « sans provocation lors de l’attaque du 7 octobre…

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