« Léon Marchand a conquis l’or olympique et le cœur des Français. La plus grande star des Jeux de Paris a battu le record olympique de Michael Phelps dans l’épreuve la plus difficile, mettant en avant ses dons physiques et son éthique de travail devant son public. Les hurlements assourdissants, résonnaient, faisaient vibrer l’air, incitaient l’homme dont c’était l’heure, le jour, l’olympiade, à aller plus vite dans sa quête de gloire », décrit Sports Illustrated en s’arrêtant sur le songe d’une nuit d’été. Un 400 m 4 nages de rêve survolé, dimanche, apprécié outre-Atlantique, où Léon Marchand a brillé lors des championnats universitaires d’Indianapolis en mars, portant Arizona State vers son premier titre.
Itinéraire d’un enfant gâté. Tout a commencé et tout ramène Léon Marchand à Toulouse. De Tempe à Austin (dans les pas de Bob Bowman), de Budapest à Fukuoka (lors de ses cinq sacres mondiaux), Léon Marchand n’a jamais oublié ses Dauphins du TOEC : «