Sarah-Léonie, quelle importance avait ce titre à Dushanbe (Tadjikistan) après votre défaite au 1er tour du Grand Slam de Tbilissi ?
Sarah-Léonie Cysique : C’était très important parce que je voulais pouvoir me sentir bien dans ma pratique compétitive. C’est vrai qu’à Tbilissi, perdre au 1er tour, l’ego prend un coup. Néanmoins, je savais que ce n’était pas représentatif de ma forme à ce moment-là, mais cela arrive à tout le monde. Avant les Championnats du monde, je voulais avoir de bonnes sensations, retrouver une sorte de symbiose avec ma pratique compétitive. Parce qu’à l’entraînement, tout se passait bien, mais encore fallait-il que cela se confirme aussi en compétition. Avant un événement comme des Championnat du monde, c’était important à mes yeux, pour ma confiance.
En plus, on vous a souvent fait remarquer que vous étiez très régulière sur le podium, mais vous n’aviez encore qu’un seul titre à votre palmarès sur le plan international. Aller au bout cette fois a dû vous faire…