Le club qui souhaitera ramener Earvin Ngapeth sur un terrain de volley devra lui proposer «la meilleure offre de tous les temps». C’est ce qu’a affirmé le réceptionneur-attaquant de 33 ans cet été sur son compte Instagram , pendant ses vacances en Guadeloupe. En attendant, il s’offre une coupure bien méritée dans la foulée du deuxième titre olympique consécutif de l’équipe de France de volley. Trois ans après Tokyo, lui et sa bande ont récidivé à Paris, dans une ambiance de feu. Un exploit majuscule. Le chef-d’œuvre d’une génération dorée.
Blessé au mollet juste avant le tournoi, Earvin Ngapeth savoure comme il se doit sa deuxième breloque en or, son titre de meilleur joueur et la sortie de son dernier album de rap. De passage au Adidas GroundParis sous la Canopée du Forum des Halles ce dimanche 1er septembre pour rencontrer le public parisien, la star des Bleues s’est confiée au Figaro sur les JO, son avenir en club et avec l’équipe de France, mais aussi sa place dans le panthéon du…