Le nom de code de l’opération en cas de décès de Kate Middleton enfin révélé

C’est une information que Buckingham Palace tient très confidentielle. Alors que Kate Middleton a annoncé être en rémission de son cancer le 14 janvier, un nouveau livre dévoile le nom de code si elle venait à mourir. Le journaliste belge et chroniqueur royal Bertrand Deckers révèle notamment dans son ouvrage Kate – Le jour où…, à paraître le 11 juin aux éditions Fayard, que Buckingham Palace a choisi l’appellation «Operation Reading Bridge» pour désigner le protocole prévu en cas de décès de la princesse de Galles.

Un choix de William

Si le monde a retenu son souffle durant les mois où Kate Middleton luttait contre la maladie, le Palais, lui, préparait l’impensable en coulisses. Et d’après Bertrand Deckers, ce serait le prince William lui-même qui aurait choisi ce nom de code, une décision loin d’être anodine. «Reading est le nom de la ville du Berkshire où est née Kate, le 9 janvier 1982», écrit l’auteur, qui précise également la symbolique des initiales O.R.B. «La contraction de ce nom de code, O.R.B., désigne l’un des joyaux les plus symboliques de la tour de Londres, le globe surmonté d’une croix, représentation de la Terre dominée par Dieu, qui est posé dans la main gauche de tout souverain, le jour de son couronnement.»

Selon l’expert royal, qui dit tirer cette information «du plus James Bond de [s]es informateurs», ce choix constitue «presque une déclaration d’amour» de la part du prince William. Une attention qui semble détonner avec la personnalité habituellement réservée de l’héritier au trône britannique, et qui témoigne de la gravité de la situation qu’a traversée le couple princier.

Cette révélation intervient alors que Kate Middleton, qui a célébré ses 43 ans le 9 janvier, a progressivement repris ses engagements royaux après avoir annoncé le 14 janvier «être à présent en rémission» de son cancer. Pour rappel, la princesse de Galles avait révélé sa maladie le 22 mars 2024 dans une vidéo émouvante, après des semaines de spéculations sur son état de santé.