Je suis amoureuse de mon meilleur ami : «Je n’ose pas lui ouvrir mon cœur, par peur de faire fausse route»

S'enfermer pour apprendre des milliers de pages, trembler devant la feuille d'examens et, après maintes nuits blanches, réussir le concours… Mieux vaut avoir le cœur accroché et compter sur de solides amitiés pour venir à bout des stressantes études de médecine. Lucile et Antoine, 30 ans passés, se sont soutenus dès leur entrée à l'université, il y a dix ans. Pour décompresser, ces deux fêtards aiment blaguer et danser. Leur complicité est telle que des «je t'aime» s'échappent, à voix basse, en fin de soirée. Il arrive aussi que les confidences chuchotées au creux de l'oreille se transforment en promesses éméchées : «Tu verras, on finira ensemble».

À la surprise de leur entourage, Lucile et Antoine ne sont pourtant pas en couple. «Être pris chacun de notre côté a excusé le fait qu'on soit si proches, sans se poser la question de s'il y avait plus entre nous ou pas», retrace Lucile d'une voix résignée. Des signes de jalousie étayent cette ambiguïté, se souvient-elle : «Il est vrai…

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