ANALYSE - La guerre commerciale se poursuit sur le mobile, faisant plonger les prix moyens des forfaits proposés. Une destruction de valeur inutile, pour des opérateurs qui se plaignent régulièrement de manquer d’oxygène pour investir.
Jean-François Fallacher, historique du groupe et patron de la division depuis plus de deux ans, prend la tête d’Eutelsat. Il est remplacé par l’ancien directeur général de la zone Afrique Moyen Orient, Jérôme Hénique.
L’opérateur au logo rouge a recommencé à recruter des clients sur le mobile depuis le début d’année. Le fruit d’un repositionnement plus agressif sur les prix, et d’un travail sur la qualité de service.
ENQUÊTE - Après avoir restructuré sa dette, Patrick Drahi peut s’attaquer à la cession de son opérateur. Bouygues, Orange et Iliad sont à l’affût, tout comme certains acteurs au Moyen-Orient. Mais le processus s’annonce semé d’embûches.
DÉCRYPTAGE - Les pannes et les signalements des consommateurs ont significativement diminué en un an, selon le régulateur des télécoms.
EXCLUSIF - Le groupe français passe le cap des 10 milliards de chiffre d’affaires et intègre le top 5 des opérateurs européens. L’entreprise vise le podium, avec dans son viseur SFR ou Telecom Italia. Thomas Reynaud, le directeur d’Iliad, détaille au Figaro les ambitions du groupe.
DÉCRYPTAGE - Présent dans dix pays européens, le groupe espagnol tourne la page des années folles où il rachetait à tour de bras les infrastructures des opérateurs pour pivoter vers un nouveau modèle de croissance.
ANALYSE - La brutalité de la nouvelle Administration achève de convaincre les dirigeants du secteur de la nécessité d’une autonomie stratégique en la matière. Mais le chemin s’annonce plus que difficile.
DÉCRYPTAGE - Les projets et les investissements se multiplient au niveau mondial. Pour le moment, la technologie permet surtout d’optimiser les coûts des acteurs mais ceux-ci espèrent que la technologie les sortira du marasme.
Plusieurs médias italiens indiquent que l’homme d’affaires français, très présent sur le marché local du mobile, s’intéresserait de près à l’opérateur historique du pays. Il faudrait le cas échéant convaincre Rome ainsi que le premier actionnaire de Telecom Italia, Vivendi.