Apithy-Brunet, sabreuse de champagne
La sabreuse a sauvé l’honneur de l’escrime française, qui abordait ces Jeux avec de grandes ambitions. Pour un bilan mitigé : certes sept médailles, mais une seule en or. Récoltée par la toujours enjouée Manon Apithy-Brunet, sacrée championne olympique au terme d’un duel sororicide avec Sara Balzer. Pour beaucoup de larmes de joie, et l’amour débordant de son mari, le sabreur Boladé Apithy (en bronze par équipes) lui sautant dans les bras sur la piste avant de la porter en triomphe dans un Grand Palais en transe. Un grand bonheur pour la Française qui en voit de toutes les couleurs après l’argent par équipes et le bronze en individuel glanés à Tokyo. (D. R.)
Beaugrand, impériale aux Invalides
Une dernière foulée inoubliable sur le tapis bleu, le dôme doré et brillant des Invalides en toile de fond. Dans un décor de carte postale, Cassandre Beaugrand a enfin couronné d’or le triathlon français aux JO, dans l’épreuve dames. La consécration…