Un an et quatre mois après la disparition du petit Emile, l’affaire connaît un rebondissement. Deux traces d’ADN humaines inconnues ont été découvertes sur les ossements et les vêtements du petit garçon, indique ce vendredi une source proche du dossier au Figaro, confirmant les informations de RTL. 

Les traces d’ADN découvertes lors d’une série d’analyse menées au sein de l’IRCGN, l’Institut de recherches criminelle de la gendarmerie, sont partielles mais il est certain qu’elles n’appartiennent pas à un membre de la famille de l’enfant.

Le petit garçon a disparu le 8 juillet 2023, au Vernet, village des Alpes-de-Haute-Provence aux 125 habitants, perché à 1200 mètres d’altitude. Le 30 mars 2024, des ossements appartenant au petit garçon avaient été découverts à proximité du hameau, par une randonneuse. Le 8 avril, de nouveaux ossements ont été retrouvés. Pour l’heure, la mort du petit Émile reste inexpliquée, ni la piste accidentelle ou criminelle n’ayant été écartée.

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