Sydney, Tokyo, Nouméa... les images des célébrations de l’arrivée de la nouvelle année 2025 à travers le monde
Le monde réveillonne ce mardi soir sous les feux d’artifice pour célébrer 2025, au terme d’une année marquée par les Jeux Olympiques de Paris, le retour tonitruant de Donald Trump mais aussi de nouveaux bouleversements au Moyen-Orient et en Ukraine, faisant espérer la paix aux populations civiles.
Les premiers territoires français ont fêté la bonne année : la Nouvelle-Calédonie a pu célébrer le réveillon, avant de se plier au couvre-feu (1h du matin à 6h du matin) voulu par les autorités.
À Sydney, sur l’un des fuseaux horaires les plus à l’est de la planète, qui sont passés dans les premiers en 2025, de nombreux Australiens se disent soulagés de dire adieu à 2024. «Il y a bien sûr beaucoup de guerres et de chahut dans de nombreux endroits», déplore auprès de l’AFP Stuart Edwards, 32 ans, employé du secteur des assurances, alors que la foule s’accroît le long du rivage. «Ce serait bien pour le monde si les choses s’arrangeaient d’elles-mêmes.»
Plus d’un million de spectateurs se sont réunis dans la ville autoproclamée «capitale mondiale du Nouvel An» où neuf tonnes de feux d’artifice ont été tirés depuis son incontournable opéra et son Harbour Bridge.
Auckland pour ouvrir le bal
À quelques centaines de kilomètres de l’île-continent, la Nouvelle-Zélande a elle aussi accueilli la bonne année avec douze heures d’avance sur la France métropolitaine. À Auckland, dans la plus grande ville de l’archipel et première métropole majeure à fêter l’événement dans le monde, un feu d’artifice a été tiré depuis la Sky Tower.
Autre pays entré en 2025 avec quelques heures d’avance sur la France, le Japon a célébré la nouvelle année avec quelques restrictions : pas d’alcool dans les lieux publics, de 18 heures à 5 heures du matin, et aucun grand rassemblement autorisé dans le quartier de Shibuya, à Tokyo. Dans le nord du pays, de fortes chutes de neige ont provoqué l’annulation de plusieurs vols au principal aéroport d’Hokkaido, des passagers risquant ainsi de se voir au début de la nouvelle année dans la salle d’embarquement.
Le dernier pays à fêter le passage à la nouvelle année sera les Samoa américaines.