Lors d’un discours dans la cathédrale, Emmanuel Macron a remercié les 2000 contributeurs du «chantier du siècle», dont quelque 1300 étaient présents, selon l’Élysée. Il doit à nouveau s’exprimer, cette fois sur le parvis, le 7 décembre.
Claire Gallois, romancière et essayiste parisienne, a notamment écrit A mon seul désir (1965), Une fille cousue de fil blanc (1970), L’homme de peine (1989) ou encore Les heures dangereuses (1992), qui fut un succès de librairie.
ASPA, RETOUR SUR HÉRITAGE (1/2) - Parce que leurs parents avaient demandé une allocation, certains héritiers ont dû s’acquitter de sommes colossales après leur mort. Des recours existent.
RENCONTRE - La philosophe vient de publier Messieurs, encore un effort..., livre dans lequel elle s’interroge sur la chute de la natalité dans les pays occidentaux. L’occasion d’évoquer avec inquiétude et lucidité une drôle d’époque.
RENCONTRE - Au-delà de leurs différences de parcours et des nuances qui peuvent les opposer, toutes trois s’inquiètent de la montée en puissance d’idéologies visant à déconstruire les fondements de notre civilisation. Et se dressent avec panache pour défendre la France, sa culture, son histoire…
CRITIQUE - Dans Racisé.e.s: une histoire franco-américaine, Michaël Prazan remonte aux origines de la «cancel culture» et met en évidence sa dimension liberticide. Un documentaire inédit à ne pas manquer ce lundi 10 octobre à 2O heures 30 sur LCP.
ENQUÊTE - Ils se revendiquent toujours de gauche, mais ont été chassés par le sectarisme idéologique de leur propre famille de pensée. Un «tiers-parti intellectuel», orphelin politiquement, qui ne se reconnaît plus dans ce qu’est devenue une gauche déconstructionniste.
EXTRAITS EXCLUSIFS - Radicalisation du discours féministe, bataille entre les historiens nationaux et multiculturalistes, émergence du «populisme intellectuel»... Dans un essai stimulant, la journaliste du FigaroVox, Eugénie Bastié, dresse un panorama complet et actualisé du monde intellectuel en France sur lequel elle a enquêté durant trois ans.
PORTRAIT - Dans son dernier livre, l’essayiste revient sur la figure de l’impératrice Marie-Thérèse d’Autriche, qui a su conjuguer pouvoir et maternité. Féministe engagée, elle n’en oublie pas pour autant ses combats pour la laïcité et contre l’islamisme.
CRITIQUE - Marie-Thérèse fut, semble-t-il, une très bonne mère. Et, ce qui était rare au XVIIIe siècle, elle attacha la plus grande importance à l’éducation de ses enfants.
LES OUBLIÉS DE L’HISTOIRE (2/7) - Pendant quatre ans, de la Constituante à la Convention, Anne-Josèphe Théroigne (dite de Méricourt) fut l’égérie de la Révolution qu’elle a aimée jusqu’à la folie. Au sens propre…