Les nouveaux visages de la rentrée littéraire : nos 10 premiers coups de cœur

Sur le même thème

1. Mémoires de Mayron Schwartz, de Jean-François Beauchemin : la terre, le ciel et les véhicules de l’amour

   CRITIQUE - Un livre sur la beauté du monde, par un frère spirituel et littéraire de Christian Bobin.

2. L’Autre Seconde Guerre mondiale, de Jean-Louis Margolin : Pacifique, la guerre oubliée

   CRITIQUE - Loin de l’Europe, un panorama de la guerre en Asie à travers de nombreux témoignages de victimes.

3. Les lieux secrets du pouvoir, de Sébastien Le Fol: les théâtres d’ombres de la République

   LA CHRONIQUE DE JACQUES DE SAINT-VICTOR - Du Grand Orient de France à la DGSE, cet ouvrage raconte de grandes institutions qui font l’identité de la France.

4. Les sentinelles, de Jayne Anne Phillips : réparer les vivants

   CRITIQUE - Avec ce grand roman couronné par le Pulitzer, l’auteur suit les victimes et les blessés de la guerre de Sécession, époque fondatrice de l’histoire des États-Unis.

5. Éric Neuhoff : «Le compromis de long island, de Taffy Brodesser-Akner, le cauchemar américain de la famille Fletcher»

   LA CHRONIQUE D’ÉRIC NEUHOFF - Un matin de 1980, un millionnaire de Long Island est kidnappé devant son domicile. Panique à bord.

6. Les fleuves du ciel, d’Elif Shafak : laisser une belle histoire

   CRITIQUE - Un roman éblouissant sur trois destins réunis par-delà les frontières et les époques par les mystères de l’eau.

7. Un mal irréparable de Lionel Duroy : la vie n’est pas si belle

   CRITIQUE - Un écrivain à succès explore une page terrifiante de la Roumanie communiste vécue par ses parents.

8. Aimer, de Sarah Chiche : ni avec toi ni sans toi

   CRITIQUE - De l’enfance à l’âge mûr, l’histoire d’amour de Margaux et Alexis. Finiront-ils par se retrouver ?

9. Comme un père, de Christian Authier : le retour du père fantôme

   CRITIQUE - Un jeune homme, qui avait été élevé par sa mère, reçoit un jour un étrange appel... Un roman touché par la grâce.

10. Un frère, de David Thomas : lettre à l’absent

    CRITIQUE - Vingt ans après la mort de son frère, l’auteur en dresse un portrait déchirant.