REPORTAGE - Dans la commune paisible du Var, le tireur, qui assumait un discours anti-immigration violent sur Facebook, cohabitait avec de nombreux étrangers dans une zone industrielle en périphérie. Son comportement n’avait pourtant jamais alerté ceux qui le côtoyaient.
Deux cambrioleurs ont fait irruption à leur domicile, à Sèvres, dans la nuit de mercredi à jeudi. Le mari de l’animateur a été frappé à coups de clubs de golf. Une enquête a été ouverte.
Ce quinquagénaire, suspecté d’avoir tué un quadragénaire de nationalité tunisienne à Puget-sur-Argens (Var), conteste aussi «toute intention terroriste».
RÉCIT - Neuf mois après sa sanglante évasion au péage d’Incarville, Mohamed Amra a été arrêté à Bucarest, où il comptait séjourner un certain temps pour y subir une opération de chirurgie esthétique. Et ainsi disparaître définitivement des radars des autorités.
ENTRETIEN - Membre du collectif des avocats de Paul Watson, Me Emmanuel Jez réagit à la décision de la justice danoise de ne pas extrader le défenseur des baleines vers le Japon. «Paul Watson a déposé une demande de nationalité française, et il y tient», rappelle-t-il.
DÉCRYPTAGE - Du 2 au 4 juillet, plus de 120 spécialistes venus de 41 pays ont planché sur une meilleure coopération pour faire face à la propagation, naturelle, accidentelle ou intentionnelle, d’un agent biologique infectieux ou toxique.
Le militaire proche des milieux d'extrême droite est notamment soupçonné de vouloir s'en prendre au virologue Marc Van Ranst, la bête noire des anti-masques.
ENQUÊTE - Début décembre, Interpol a mis en garde contre les menaces qui pèsent sur l'acheminement des vaccins, insistant sur le risque de vols physiques et de cyberattaques. Depuis, une logistique millimétrée s'est orchestrée pour tenter de parer à toute éventualité.
Les services de police de 29 pays ont uni leurs forces dans une enquête contre les trafics d’objets culturels volés et revendus en ligne. Le 29 juillet dernier, Europol, qui supervisait le groupe, a annoncé la réussite de cette mission d’un calibre international.
Meng Hongwei, l’ex-patron chinois d’Interpol, que l’on n’avait plus vu depuis septembre, a avoué lors de son procès avoir touché des pots-de-vin. Sa femme, qui a obtenu l’asile en France, avait dénoncé une offensive du pouvoir chinois.
L’épouse de l’ex-président d’Interpol, Meng Hongwei, détenu actuellement en Chine, a obtenu l’asile politique en France, a annoncé son avocat le 13 mai. Pékin dénonce une violation des procédures légales.