Le président du syndicat patronal de l’Umih annonce ce lundi 1er avril qu’il «manque encore des collaborateurs» dans les restaurants et les hôtels à l’approche des Jeux olympiques de Paris cet été.
ENTRETIEN - Le président confédéral de l’Umih, premier syndicat d’hôteliers et de restaurateurs de France, déplore le manque de reconnaissance d’une industrie qui fait vivre 2 millions de personnes.
Choisi pour aménager les nouvelles terrasses des Champs-Élysées, façon «vacheries anglaises», avant les Jeux Olympiques, le designer belge de 45 ans, est sous le feu des projecteurs. Rencontre avec un passionné serein, aussi ambitieux que diplomate.
Le médiatique cuisinier vient d’annoncer son départ du palace parisien où il officiait depuis quatorze ans, à la tête notamment du Sur Mesure, deux étoiles au Guide Michelin.
Invité de l’émission «Le Figaro La Nuit», le chef s’inquiète du recul de la gastronomie française qui n’est plus, selon lui, la meilleure du monde.
«J’achète chez Lorenzo, marché Président-Wilson (16e), selon la saison et les prix, une grosse sole, un bar ou des maquereaux, cuits à la poêle côté peau après l’avoir laquée avec un vinaigre de cidre réduit.»
L'étoilé du Mandarin Oriental a été choisi, avec le groupe SSP France, pour orchestrer la table des musées parisiens en cours de restauration. L'ouverture est prévue en avril 2025.
250.000 emplois sont encore à pourvoir. L’objectif est aussi de recruter des saisonniers pour juillet et août prochains, afin de ne pas revivre les difficultés de l’été 2022.
CRITIQUE GASTRONOMIQUE - En lieu et place de La Marée (8e), le chef installe une table d’en haut, ouvertement engagée, sur le plan social comme environnemental.
CRITIQUE GASTRONOMIQUE - L’ennui règne en maître dans l’adresse double étoilée du célèbre chef, située au palace Mandarin Oriental, à Paris.