Jeux olympiques: ce que la rédaction du Figaro a (beaucoup) aimé et (un peu) moins aimé

Sites iconiques, ambiance féerique, bienveillance collective, étrangers avec appareil photo en bandoulière conquis, policiers (souriants) de tous horizons et de toutes nationalités, ville propre, transports à l’heure et sans grève… Cette quinzaine magnifique restera éternelle aussi, au-delà des exploits sportifs, pour cette légèreté et cette sensation de bien-être ressenties tout au long de ces JO. Paris n’a jamais été aussi agréable à vivre que pendant cette parenthèse enchantée. Le réveil s’annonce brutal. On ne veut pas y penser. Dans notre esprit, mêlant déjà nostalgie et mélancolie, les Jeux seront éternels. (Baptiste Desprez)