«Je me dis que j'aurais dû y être» : ces Parisiens amers d’avoir fui les JO pour la Grèce

Athènes

Cet été, la langue de Molière s’entend beaucoup et partout au pays d’Aristote. « Mais cette année, le phénomène est plus important que les étés précédents », assure Marc depuis sa plage préférée d’Hydra, cette petite île de la mer Égée, à quelques encablures du Péloponnèse. Ce communicant français passe chaque année quelques jours en Grèce. Il y avait pris ses habitudes en septembre. Cette fois, il a adapté son agenda aux Jeux olympiques. « Avec mes collègues, nous nous attendions à ce que Paris soit difficile à vivre, qu’il soit très compliqué de circuler et que la sécurité soit menacée. Nous avions décidé, au départ, d’être tous en télétravail. Finalement, nous avons invité nos collègues à poser leurs vacances à ce moment-là », son agence étant située « juste derrière la place l’Étoile ».

Mais le Parisien l’a vite regretté. De passage dans la capitale la veille de la cérémonie d’ouverture, il a été surpris. « J’ai trouvé ma ville fantastique…

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