Pas de taxis volants à Paris pendant les JO : l’abandon d’une promesse (trop) ambitieuse

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Pas de taxis volants à Paris pendant les JO : l’abandon d’une promesse (trop) ambitieuse

Le vertiport de Paris-Austerlitz, installé sur une barge temporaire,sur la Seine, est destiné à servir de base de décollage et d'atterrissage au Volocity. Mario Fourmy/SIPA / Mario Fourmy/SIPA

DÉCRYPTAGE - Après des mois d’une lutte entre le gouvernement et la mairie de Paris, Groupe ADP et la start-up allemande Volocopter ont finalement renoncé à faire voler le Volocity dans le ciel de Paris.

L'image devait faire le tour du monde : des taxis volants dans le ciel de Paris pendant les JO. La capitale française devait devenir la première au monde à expérimenter ce nouveau moyen de mobilité aérienne urbaine. De quoi perpétuer l'image d'une France - pays des frères Montgolfier et de Clément Ader, père de l’aéronautique -, toujours pionnière et aux avant-postes de la technologie. C’est raté. Les taxis volants ne feront pas partie des temps forts des JO de Paris avec sa cérémonie d’ouverture inédite sur la Seine, des épreuves organisées au pied des plus beaux monuments de Paris ou encore de cette vasque, porteuse d’une flamme électrique, qui, chaque soir, s’élève dans le ciel de la capitale des jeux d’été.  

La promesse était belle mais elle n’est pas tenue…

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