Face aux députés d’opposition, Gabriel Attal tient le choc mais reste flou

Quelques petites phrases, des questions de fond et une ambiance parfois très agitée. Mercredi après-midi, Gabriel Attal a inauguré la nouvelle formule de «questions au premier ministre» mise en place par l’Assemblée nationale.

Un format inédit calqué sur celui du «prime minister’s questions», qui se déroule tous les mercredis à la Chambre des communes en Angleterre. Et qui lui a permis, pendant 45 minutes, de répondre seul aux interpellations des députés. Au lendemain de l’annonce, auprès de sa majorité, du lancement d’une mission parlementaire visant à faire des propositions «sur la taxation des rentes», le chef du gouvernement a été interrogé à plusieurs reprises sur les pistes d’économies afin de résorber la dette publique. Un sujet qui agite largement la classe politique et la majorité présidentielle depuis la publication il y a une semaine des derniers chiffres du déficit public de l’État.

S’il n’a pas fait d’annonce sur le sujet, le premier ministre a réaffirmé que «jamais» le gouvernement…

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