Travail «au noir», arnaques à la carte vitale, détournement de minima sociaux... Longtemps sous-évaluée par l’administration, la fraude sociale dépasse largement les montants avancés. Elle atteindrait «au moins 13 milliards d’euros» et l’État s’est montré «crédule» sur le sujet, affirme le très officiel Haut conseil de financement de la protection social (HCFIPS), dans un rapport publié mercredi.
Un montant loin des chiffres timides affichés par les caisses de Sécurité…