Festival d’Avignon : malgré l’alerte météo, les comédiens Français jouent Le Soulier de Satin
CRITIQUE - La Comédie-Française a tenté de donner la seconde représentation de la pièce. Les acteurs voulaient jouer coûte que coûte, quitte à se battre avec les éléments.
Festival d’Avignon : le jour sans fin au Théâtre du Chêne noir
REPORTAGE - Considéré comme le « In » du Off, l’établissement de Gérard Gelas accueille des milliers de spectateurs et treize spectacles quotidiens. Plongée dans un ballet bien rodé.
Festival d’Avignon : Israel & Mohamed, au nom du père
CRITIQUE - Le danseur de flamenco Israel Galvan et le metteur en scène Mohamed El Khatib évoquent sur un mode original le poids des injonctions paternelles. Émouvant.
Festival d’Avignon : La Sœur de Jésus-Christ, un stupéfiant travelling théâtral
CRITIQUE - La pièce d’Oscar De Summa met en scène l’histoire de la vengeance d’une jeune fille narrée par Félix Vannoorenberghe. Un monologue que l’on suit, sidéré.
Notre critique de La Belle Hélène et les garçons : le Théâtre du Petit Monde crève l’écran
FESTIVAL D’AVIGNON - La compagnie centenaire transforme l’opéra-bouffe d’Offenbach en soap opera, dans un délicieux esprit de tréteaux. Réjouissant.
Après des débuts pénibles, le festival d’Avignon décolle enfin avec Fusées et La Distance
CRITIQUE - La première, signée Jeanne Candel, conte les aventures de deux cosmonautes à la dérive, la seconde, écrite par Tiago Rodrigues, est un dialogue poignant entre un père et sa fille partie sur Mars.
Notre critique de BREL: Anna Teresa de Keersmaeker mise à nu
FESTIVAL D’AVIGNON - À 65 ans, la chorégraphe belge remonte sur scène et mesure le temps passé aux chansons de son compatriote.
Notre critique de When I Saw the Sea: un miracle sensible
FESTIVAL D’AVIGNON - En donnant la parole à des femmes africaines, esclaves domestiques des maisons libanaises, Ali Charhour compose une pièce si juste qu’elle en impose.
Notre critique du Canard sauvage: Thomas Ostermeier passe Henrik Ibsen à la casserole
FESTIVAL D’AVIGNON - Le metteur en scène allemand, patron de la Schaubühne, à Berlin, est un habitué du festival et du génial norvégien. Il adapte trop librement la pièce du dramaturge, en rajoute dans le racolage. Dommage.
Notre critique de Nôt: Grand-guignol au Palais des papes
FESTIVAL D’AVIGNON - La chorégraphe Marlene Monteiro Freitas, qui a ouvert l’événement, récolte des huées. Son spectacle n’est pas sans mérites, mais n’a rien à faire dans la Cour.