Pour Henri IV, Paris valait bien une messe, dit-on. Pour les marques horlogères, la réouverture au public et aux fidèles de Notre-Dame de Paris méritait bien une montre. Et même deux. La maison familiale alsacienne Pierre Lannier, dirigée par Pierre Burgun, petit-fils du fondateur, ne pouvait pas passer à côté de cet événement. La marque - qui proposait déjà des modèles au cadran frappé de l’emblème de l’Élysée - a imaginé cette fois un double hommage : deux pièces au boîtier en acier de 35 mm ou 42 mm de diamètre (259 €), au cadran squelette argenté sur lequel ressort la silhouette de la cathédrale. Proposées sur un bracelet en cuir bleu doublé de rouge, ces montres Cœur Battant embarquent un mouvement automatique.
Autre hommage : l’édition Notre-Dame, proposée par le spécialiste allemand de la montre mono-aiguille, MeisterSinger. Dédiée aux amateurs de belles mécaniques, cette série limitée à 70 exemplaires proposée en exclusivité chez Ocarat (4 599 €) arbore tout d’abord un cadran reproduisant à l’identique l’une des rosaces de la célèbre cathédrale. Mise en lumière sur un fond bleu foncé, cette dentelle contraste afin de créer un effet de profondeur. Le pourtour couleur ivoire de la montre est quant à lui divisé en 144 segments de 5 minutes, vers lesquels pointe une aiguille permettant de lire l’heure (presque) à la minute près. Le verso reprend lui aussi le motif de la rosace sur le fond de verre transparent, complété du numéro gravé de l’édition. Enfin, cette création hommage au boîtier en acier de 43 mm propose également un carillon sonore marquant le passage des heures via la fourche sonore située derrière le cadran. Une fonction sonnerie qui peut être désactivée à l’aide du poussoir situé au-dessus de la couronne… afin qu’elle ne sonne pas pendant la messe !