À plus de 3900 kilomètres de la Silicon Valley, Mark Zuckerberg fait le pari de l’apocalypse. Chaque jour, une dizaine de gardes se relayent sur l’île de Kauai afin d’assurer la sécurité de son vaste domaine, encerclé par des murailles. Mais sous la classique piscine et l’espace sauna de sa villa se cache un immense bunker de luxe de 500 m2, creusé sous la terre de l’archipel hawaïen à la demande du fondateur de Meta. Capable de résister aux explosions, protégé par une porte blindée et truffé de passages secrets, le domaine est aussi autosuffisant. Un immense réservoir et un système de pompes viennent, entre autres, garantir l’approvisionnement en eau, alors qu’une partie du site est consacrée à l’agriculture.
« Les milliardaires de la tech investissent 10 % à 20 % de leurs fortunes dans un “plan B” : une île isolée autosuffisante pour parer à toute éventualité, ou des moyens considérables pour tenter de coloniser l’espace, en cas de destruction…