Olaf Scholz accuse Elon Musk de «mettre en danger» la démocratie européenne après son soutien à l'extrême droite allemande

LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS - Les entreprises américaines font allégeance au nouvel empereur de Washington. Spectaculaire.

RÉCIT - La Silicon Valley s’est développée en sacralisant le « free speech » et en refusant toute forme de contrainte étatique. Elle trouve aujourd’hui en Donald Trump un allié de circonstance.

CHRONIQUE - Le 6 janvier, Emmanuel Macron a affirmé qu’Elon Musk soutenait une «nouvelle internationale réactionnaire». Pour certains, cette découverte représente un choc traumatique sans précédent.

TRIBUNE - Le projet du nouveau président américain est celui d’une Grande Amérique qui s’appuierait sur une réorganisation de l’Occident. Cette dernière repose sur une condition : la neutralisation de toute souveraineté concurrente à l’intérieur de ce grand espace, analyse le directeur de la revue Le Grand Continent.

TRIBUNE - Après les récentes déclarations du patron américain de X et de Tesla sur la liberté d’expression, de nombreuses figures politiques françaises se sont insurgées, appelant à limiter cette libéralisation. Nous ne sommes plus le continent de la liberté et de la création mais celui de la censure et de l’immobilisme médiocre, s’insurge l’essayiste*.

REPORTAGE - Les soutiens du président sud-coréen suspendu reprennent les slogans de Donald Trump, espérant un geste de la prochaine Administration américaine.

TRIBUNE - Des voix se font entendre pour supprimer le réseau social d’Elon Musk en Europe, où il représenterait une menace pour les démocraties. La réalité est tout autre, martèlent le maire de Cannes et l’écrivain* : les démocraties occidentales ont été fragilisées, non par la liberté d’expression, mais par des décennies de négation du réel.

CHRONIQUE - L’hystérie que déclenche la libération de la parole sur les réseaux sociaux trahit une panique chez un camp progressiste habitué au monopole médiatique qui a oublié les fondements du pari démocratique.

DÉCRYPTAGE - Selon la presse anglo-saxonne, les autorités chinoises considèrent que le conseiller de Donald Trump pourrait se muer en chevalier blanc pour racheter l’application, interdite aux États-Unis d’ici au 19 janvier.